
Mystères à la bibliothèque
Tout comme je m’en étais douté, quelqu’un avait volontairement augmenté les compteurs ! Il devait faire dans les 26 degrés et le taux d’humidité explosait la limite autorisée. Doucement, j’ai redescendu les niveaux pour revenir à un seuil acceptable.
C’est en faisant demi-tour que je l’ai aperçu…
C’était un vieux miroir tout embué sur lequel quelqu’un avait tracé d’un doigt mal assuré un nom de rue :
J’ai essayé de me remémorer le nom des rues de la ville, mais Suffid ne me disait rien. Etait-ce un message de Jack ?
Les traces sur la glace étaient fraiches et il n’y avait qu’une issue dans la pièce : celle par laquelle j’étais venu. J’ai parcouru chaque allée, tendant l’oreille pour ne laisser échapper aucun son suspect.
J’ai vite dû me rendre à l’évidence : j’étais seul.
Il n’y avait plus rien à faire ici… je n’avais plus qu’à me diriger vers :
